Tableau thématique – Horlogerie – Société d'histoire et d'archéologie du canton de Neuchâtel

Le temps de l'horlogerie

A partir du XVIIIe siècle, l'horlogerie à joué un rôle crucial dans l'évolution de la Chaux-de-Fonds, du Locle et plus généralement des montagnes neuchâteloises. Plonger dans cette histoire permet de mieux comprendre les enjeux contemporains.

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Les dessins de boîtiers de montres du Musée international d’horlogerie

Une étonnante collection de cartons sommeille sur les étagères des dépôts du MIH, à la Chaux-de-Fonds. Croquis de boîtiers, motifs de cadrans, esquisses préparatoires, catalogues de vente… De délicats dessins sont archivés par milliers, à l’abri du temps et des regards. Provenant de dons de collectionneurs ou de fonds d’archives d’anciennes maisons horlogères, cette multitude de dessins illustre le foisonnement créatif de l’industrie horlogère chaux-de-fonnière du 19ème siècle, qui a valu à la ville son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2009.

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Les mains agiles, la conservation-restauration des objets émaillés au Musée international d’horlogerie

Plongez dans les coulisses de la conservation-restauration des objets émaillés à travers deux pièces emblématiques et étonnantes. Un poétique pistolet lance-parfum à musique du début du 19ème siècle aux mécanismes délicats, ainsi qu’une pièce à sonnerie sur cloche.

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D’ici et d’ailleurs, les collections asiatiques du musée régional du Val-de-Travers

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Dans les dépôts de la Pension Beauregard, à Fleurier, sommeille une étonnante collection d’objets asiatiques. Rapportés à partir de la fin du 19ème siècle par des valonniers, horlogers pour la plupart, ces « souvenirs » venus de Chine et du Japon racontent l’histoire d’un commerce horloger dynamique, complexe et international.

L’Atelier du Père Bernet, au musée des Mascarons

Le musée régional du Val-de-Travers et plus particulièrement la maison des Mascarons, abrite, en l’état, l’atelier d’Albert Bernet. Le Père Bernet (1881-1967) a cultivé toute sa vie, dans la ferme familiale, la pratique des paysans horlogers. Cet atelier, conservé dans son intégralité, est un témoin unique et miraculeux de cette pratique révolue, à la base du développement horloger dans le canton de Neuchâtel.

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Suggestions de lecture

Entre merveilles de spectacle, mécaniques luxueuses et machines utiles 1758-1811
Artisans de la modernité, des horlogers juifs à La Chaux-de-Fonds (1800-1914)
La transmission en jeu, apprendre, pratiquer, patrimonialiser l'horlogerie en Suisse
Les pionnières du temps, vies professionnelles et familiales des ouvrières de l'industrie horlogère suisse (1870-1970)
Les patrons horlogers de La Chaux-de-Fonds, dynamique sociale d'une élite industrielle (1840-1920)
Le pays de Neuchâtel et son patrimoine Horloger

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Découvrez nos objets

Fin du XVIIe siècle, selon la légende, Daniel Jeanrichard aurait réparé la montre d’un voyageur. Suite à quoi il aurait commencé à fabriquer des montres. Mais la réalité est toujours plus complexe..

A partir du XVIIIe siècle, l’horlogerie est indissociable de l’histoire de la Chaux-de-Fonds. Elle façonne son organisation, ses rapports sociaux et sa population. Les innovations dans sa production la transforme autant dans son fond que dans son image qui rayonne à l’étranger.

Les longues périodes hivernales de l’arc jurassien rendaient les habitants enclin a développé des activités d’artisanat lorsqu’il fait le plus froid. A partir du XVIIe siècle la dentellerie et l’horlogerie s’ajoutent à ces activités.

Les dessins de boîtiers de montres du Musée international d’horlogerie

Intervenant :

Régis Huguenin-Dumittan, directeur du MIH

Françoise Beltrami, archéologue et responsable des archives au MIH

Réalisation :
Pauline Lecomte

Une étonnante collection de cartons sommeille sur les étagères des dépôts du MIH, à la Chaux-de-Fonds. Croquis de boîtiers, motifs de cadrans, esquisses préparatoires, catalogues de vente… De délicats dessins sont archivés par milliers, à l’abri du temps et des regards. Provenant de dons de collectionneurs ou de fonds d’archives d’anciennes maisons horlogères, cette multitude de dessins illustre le foisonnement créatif de l’industrie horlogère chaux-de-fonnière du 19^ème siècle, qui a valu à la ville son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2009.

Au XVIIIe siècle, les montres étaient produites au sein d’un système « d’établissage ». Les pièces étaient fabriquées par des artisans spécialisés dans une tâche : faiseurs d’aguilles, de ressorts, polisseurs, adoucisseurs, graveurs, guillocheurs. Puis elles étaient assemblées par des ouvriers plus qualifiés dans l’horlogerie.

Les mains agiles, la conservation-restauration des objets émaillés au Musée international d’horlogerie

Intervenant :
Aurélie Branchini, restauratrice horlogère au MIH

Réalisation :
Pauline Lecomte

Plongez dans les coulisses de la conservation-restauration des objets émaillés à travers deux pièces emblématiques et étonnantes. Un poétique pistolet lance-parfum à musique du début du 19^ème siècle aux mécanismes délicats, ainsi qu’une pièce à sonnerie sur cloche.

D’ici et d’ailleurs, les collections asiatiques du musée régional du Val-de-Travers

Intervenant :

Sandrine Girardier, conservatrice au musée régional du Val-de-Travers.

Réalisation :
Pauline Lecomte

Dans les dépôts de la Pension Beauregard, à Fleurier, sommeille une étonnante collection d’objets asiatiques. Rapportés à partir de la fin du 19^ème siècle par des valonniers, horlogers pour la plupart, ces « souvenirs » venus de Chine et du Japon racontent l’histoire d’un commerce horloger dynamique, complexe et international.