A soigner les enfants souffreteux, anémiques ou menacés de tuberculose
« Les historiens de l’école placent autour de 1920 l’éclosion des écoles en plein air, destinées à des enfants souffreteux, anémiques ou menacés de tuberculose. A Neuchâtel, souvent précurseur dans le secteur social, un établissement poursuivant exactement ces buts est attesté dès l’été 1913. Les deux premiers étés, l’école se tient au stand de Peseux, mais dès 1915, elle est dotée d’un bâtiment propre, situé à Pierre-à-Bot. (…) Son fonctionnement est dicté par trois principes : Double ration de plein air, double ration de nourriture et demi-ration d’école. »
La question du jour est réalisée en collaboration avec les Editions Attinger. La réponse provient de l’ouvrage de Jean-Pierre Jelmini, Neuchâtel 1011-2011, mille ans – mille questions – mille et une réponses, question 340.