La Tour des prisons
Un Mystère de Pierre et d’Histoire
Mystérieuse par son nom et l’austérité de ses pierres anciennes, la Tour des Prisons fascine. Entre ses murs, elle a retenu des endettés, des voleurs, des meurtriers, des prétendus sorciers et sorcières et même des innocents injustement condamnés.
Olivier Silberstein, historien
La tour des prisons
Notices
Première vue connue de NeuchâtelLa tour des prisons
Neuchatel retourne à la Prusse en 1814 Un lieu d’enfermement sûr (Valangin) Un pénitencier mal adapté (Le mail)La tour des prisons
La tour des prisons
La tour des prisons
La tour des prisons
La tour des prisons
Suggestion de lecture
Libellus pnarum, le petit livre des peines. Récit d’une captivité à Neuchâtel en 1415La tour des prisons
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Notices
- Première vue connue de Neuchâtel
- Neuchatel retourne à la Prusse en 1814
- Un lieu d’enfermement sûr (Valangin)
- Un pénitencier mal adapté (Le mail)
La tour a été conçue, à l’origine comme une tour de garde et une porte d’entrée.
La Tour des Prisons : Un Mystère de Pierre et d’Histoire
Mystérieuse par son nom et l’austérité de ses pierres anciennes, la Tour des Prisons fascine. Entre ses murs, elle a retenu des endettés, des voleurs, des meurtriers, des prétendus sorciers et sorcières et des innocents injustement condamnés. Ses murs épais ont privé de liberté ses occupants parfois pendant de longs mois. Pourtant, à l’origine, ce n’était pas sa fonction. La tour servait de porte d’entrée à la ville de Neuchâtel et de poste d’observation pour assurer sa défense.
Olivier Silberstein, historien
Une partie de sa base est constitué de pierres de la villa romaine de Colombier
Benedetto da Piglio
L’histoire du malheureux familier du Cardinal emprisonné dans la Tour des Prisons à la place de son maître…
Libellus pnarum, le petit livre des peines. Récit d’une captivité à Neuchâtel en 1415
Sous la direction de Jean-Daniel Morerod et Christine Morerod, Société d’histoire de la Suisse Romande, 2020
Au trou! Perspectives romandes sur les prisons d’hier et d’aujourd’hui
Sous la direction de Jean-Daniel Morerod et Olivier Silberstein, Société d’histoire de la Suisse Romande, 2019
Au XVe siècle, Nicolet Perrudin, sa femme et Jean Perrudin ont passé de longs mois enfermé dans la tour alors qu’il étaient soupçonné de sorcellerie
